Sélectionner une page

A découvrir 

Climatiser le monde – Stephan C. Aykut, Quae, 2020 (Sciences en question), 82 p. (Sciences en question)

La question climatique s’est diffusée dans de nombreuses sphères de la vie publique, forçant des acteurs parfois assez éloignés des enjeux écologiques à s’y intéresser. Un nombre croissant de firmes, d’associations et d’institutions se voient désormais contraints à repenser leurs orientations stratégiques, leurs routines organisationnelles et leurs pratiques économiques. L’auteur propose de saisir les évolutions en cours comme le résultat d’une « climatisation » du monde. Cette expression traduit la capacité du changement climatique à connecter et à agréger toutes sortes de sujets aussi divers que la sécurité alimentaire, la finance ou les sols.

lien

 

Ecocity, knowledge cities, smartcity : vers une ville écosoutenable ? – [sous la direction de] Patrizia Ingallina, Presses universitaires du Septentrion , 2019, 292 p. (Environnement et société)

Qu’elle soit smart ou knowledge, la ville du futur avec ses atouts et ses promesses est déjà là. Caractérisée par l’innovation écologique et urbaine, elle a comme finalité le bien-être commun. Le concept de ville éco-soutenable se fait route. Une ville que nous construisons progressivement en transformant nos espaces, nos pratiques et nos représentations, et en innovant dans de domaines aussi variés que les transports, les mobilités, l’énergie, le cadre bâti, l’environnement, le patrimoine…

lien

Chez soi: une odyssée de l’espace domestique – Mona Chollet, Editions Zones, 2015, 330 p.

Le livre du moment… Mona Chollet nous propose de pénétrer dans l’espace domestique présenté ici comme un cocon sensé nous protéger des agressions du monde extérieur. Mais ce sentiment de protection est illusoire.

lien

Contagion – Paolo Giordano , éditions du Seuil, 2020, 64 p. (Essais littéraires)

Un auteur italien qui a écrit ce texte pour interroger “l’effondrement de la normalité que nous connaissons aujourd’hui. (Isabelle Landon, enseignante à l’Ensam)

lien

L’urbanisme, l’architecture et le jeu – Maryvonne Prévot, Éric Monin et Nicolas Douay (dir.), Presses universitaires du Septentrion, 2020 (Architecture et urbanisme), 258 p.

Les années 1970 avaient déjà vu les grands bureaux d’études parapublics s’intéresser de près aux jeux de simulation urbaine essentiellement en provenance des États-Unis. Ces jeux qui empruntent au Monopoly et aux jeux de rôle étaient assidûment pratiqués au Ministère de l’équipement mais aussi par le milieu de la recherche appliquée. Ces jeux étaient et sont toujours considérés comme étant de nature à comprendre et faire comprendre « la boîte noire » de la production urbaine. Dans une première partie, l’enfance, et plus globalement les différentes phases d’apprentissage de la jeunesse, et le jeu comme pratique ou dispositif pédagogique sont les points communs des textes rassemblés. La seconde partie insiste sur le jeu de construction principalement comme l’aboutissement d’une vie passée à tester les ressources d’une vision du monde appliquée à l’architecture ou comme l’expression d’une fiction mise en scène pour séduire, enseigner ou convaincre.[d’après l’éditeur]

lien

Le temps du paysage : aux origines de la révolution esthétique – Jacques Rancière , la Fabrique éditions , 2020, 135 p.

En 1790, Kant introduit l’art des jardins dans les beaux-arts et les scènes de la nature déchaînée dans la philosophie. La même année, Wordsworth lit les signes de la révolution sur les routes et les rivières de la campagne française tandis que Burke dénonce ces révolutionnaires niveleurs qui appliquent à la société la symétrie des jardins à la française. Le paysage est ainsi bien plus qu’un spectacle qui charme les yeux ou élève l’âme. Il est une forme d’unité de la diversité sensible qui bouleverse les règles de l’art et métaphorise l’harmonie ou le désordre des communautés humaines. À travers un siècle de débats sur l’art du paysage, Jacques Rancière poursuit son enquête sur cette révolution des formes de l’expérience sensible qui unit et excède les bouleversements de l’esthétique et ceux de la politique (éditeur).
L’auteur parle de son livre lors d’une rencontre à la librairie La petite Egypte à Paris :

lien

La transition numérique dans la recherche et l’enseignement supérieur à l’horizon 2040 – Marco Barzman, Mélanie Gerphagnon, Olivier Mora, Quae, 2020, 146 p. (Matière à débattre et à décider)

La transition numérique crée des opportunités et des défis inédits pour l’enseignement supérieur et la recherche publique. Cette prospective envisage des évolutions possibles et contrastées du fonctionnement de la recherche, de l’apprentissage et des modes de partage des savoirs.

lien

Premises : invented spaces in visual arts, architecure and design from France 1988-1998: [exposition] – Alison M. Gingeras, Bernard Blistène, Alain Guiheux, Guggenheim Museum, 1998, 542 p.

A travers la présentation d’une centaine d’artistes et architectes travaillant en France ces quarantes dernières années, une relation entre les idées concernant l’espace et leur magnifestation physique, dans leurs diverses installations: films, vidéso, photographies, design, jouant ainsi sur le terme “Premise”, à la fois lieu et espace construit.

lien

S'inscrire à notre Newsletter

Abonnez-vous à notre liste de diffusion pour recevoir les dernières nouvelles de l'ENSAM.

Vous vous êtes inscrit avec succès